BATIDA
PAYS: Angola/Portugal
LABEL: Crammed Disc
ALBUM: Neon Colonialismo
STYLE: Afro Electro
LINE UP: 1 (dj) or 7 (live band)
BOOKING: World
TOURNÉE: Toute l’année
“Batida est à un autre niveau en termes de présentation, d’approche de la création musicale, de DJing, de performances live, de visuels et de la manière dont il conçoit son art.”???? Gilles Peterson, BBC1
Son approche hors format et multidisciplinaire est devenue sa signature, menant Batida sur certaines des plus grandes scènes du monde – de Glastonbury à Roskilde, en passant par le Summer Stage de New York, les Carnavals de Recife et São Paulo, le MIMO à Rio de Janeiro, ainsi que les plus grands festivals du Portugal, comme le FMM Sines, le NOS Alive et le Super Bock Super Rock.
Un spectacle où musique, visuels, danse et discours s’entrelacent pour créer un langage unique, lui valant la distinction de Show de l’Année au WOMEX et une reconnaissance critique unanime.
⭐ “Un spectacle totalement hors format, élégant et fascinant du début à la fin. Images, danse, musique, mise en scène et discours engagé. Batida mélange et invente un langage qui lui est propre.” – Les Inrockuptibles, sélectionnant le spectacle parmi les meilleurs d’Europe
???? “C’est ça, le style Batida, une sorte de George Clinton à l’envers : libérez votre esprit et votre corps suivra… Il a harangué le public avec un flot de sarcasmes entre les morceaux, avec un charisme brut qui rappelle Iggy Pop ou Rachid Taha.” – New York Music Daily
Avec son nouvel album “Neon Colonialismo”, Batida réaffirme son identité libre, inventive et indomptable.
Presse:
« Le pape de l’Afro Electro. » – Les Inrocks
« Un DJ set diablement efficace. » – Trax
« Batida affectionne les digressions et les sorties de piste. Disciple du kuduro, ce style électronique angolais, il bouscule le genre en le (re)mixant avec du semba, de l’afro-house, du dancehall, de la pop africaine, des samples des Clash, des rythmes de carnaval, des raps argotiques, des sirènes de pompiers des rues de Luanda, et autres déliriums sonores indicibles. » – Tsugi